Tremblement de terre à L.A. (pv collectif)

Bonjour chers auditeurs !

Ici, Beth Turner sur Buzz Wire News en direct d'un hélicoptère qui survole la ville de Los Angeles....

Ce que nous voyons, chers auditeurs, est effroyable. Il n'y a pas de mots pour décrire ce que nous ressentons.

En effet, cette nuit, très tôt vers 2 heures, la ville a connu un de ses plus grands tremblements de terre.
Nous avons eu l'information qu'il serait évalué à une magnitude de 6.3 sur l'échelle de Richter, ce qui a causé d'énormes dégâts. D'où je suis, nous avons pu voir que nombreux gratte-ciels du centre de Los Angeles avaient été touchés par ce désastre. L'hôtel Hilton reste encore debout mais de nombreuses vitres ont été brisées. D'ailleurs, nous avons une information de la part d'une source sûre qu'une fête d'étudiants étaient organisée à moment-là sur le toit de l'immeuble. Je prie avec vous pour que ce ces jeunes s'en sortent indemnes.

Nous avons aussi un communiqué de la part de la directrice de l'hôpital de L.A.. Les nombreux blessés peuvent être pris en charge dans son hôpital. Tout son personnel a été rappelé et est donc disponible pour assurer le service d'urgences. A ce moment précis, nous pouvons vous dire qu'il y aurait une centaine de morts répertoriés et quelques centaines de blessés.
Vous pouvez composer le numéro d'urgence 912 pour savoir si vos proches ont été enregistrés et dans quels hôpitaux de la ville.

Ah, je vois que les quartiers résidentiels n'ont pas été trop touchés, apparemment quelques dégâts matériels. Ce qui laisserait supposer que l'épicentre se trouvait en plein dans le quartier des affaires de Manhattan. Heureusement que le séisme a lieu cette nuit et non à des heures de bureau.

J'en profite pour lancer un appel à tout homme ou femme qui souhaiterait aider pour rechercher les victimes sous les décombres. Les pompiers et policiers sont totalement submergés. Nous vous en remercions.

Ici Beth Turner sur Buzz Wire News, en direct de Los Angeles. Je reprendrais l'antenne pour vous donner de plus amples informations.
Que Dieu bénisse tous les habitants de Los Angeles. Nous pensons très fort à eux dans ce moment difficile.

Meredith sortait tant bien que mal de la brume ithillique dans laquelle la tequila l'avait plongé. Elle chercha Cristina des yeux mais elle n'était apparemment pas dans la pièce.
Soudain elle entendit une radio allumée dans la cuisine et se rapprocha. C'est là qu'elle entendit l'effroyable nouvelle. Elle était tellement soule qu'elle n'avait même pas ressenti les secousses sismiques. Derek attendrait.
Bien qu'elle ne travaillait pas encore officiellement à l'hopitâl de L.A, Meredith restait résidente en chirurgie et pouvait donc donner un coup de main. Elle prit une douche en vitesse, laissa un mot à Cristina, et se dirigea vers les lieux du drame.
C'était une véritable hécatombe et cela lui rappela son aventure avec l'accident de ferry à Seattle. Elle eut des frissons dans le dos: alcool ou angoisse?
Elle chercha un médecin référant dans la foule qui s'agitait.

Mickael qui venait de sortir de prison, avait passé la nuit à troquer sa jolie tenue bleue contre un vieux jean et une chemise déchirée à un clochard, trop bourré pour se rendre compte de la bêtise qu'il avait faites.
Etant trés certainement recherché dans tout New York, décision était prise de traverser le pays, pour rejoindre Los Angeles.
Après avoir deposé le docteur Tancredi devant un hopital, il entreprit un long voyage, dissimulé dans un car, qui faisait la navette entre NY et LA. En compagnie de nombreuses valises trés peu bavardes, Gueule d'ange arrivait bientôt dans une ville agitée au son des véhicules de secours, des hélicoptères, et des cris de désespoir des habitants présents sur place.
Ne comprenant pas au début, il ne lui fallu pas longtemps pour prendre conscience, qu'une véritable catastrophe venait de se produire.
Partagé entre la peur de se faire chopper par tous les policiers présents, et par l'envie d'apporter son aide comme ingénieur du génie civile, Michael ne mit pas longtemps à faire son choix.
Il lui été insupportable de voir la souffrance des gens, et ne pas pouvoir y apporter son aide.
Il s'approcha timidement des décombres et se mit à la recherche d'une personne responsable, ou tout au moins quelqu'un qui pourrait avoir besoin de lui.
Il n'était pas évident de mettre un nom, ou un rôle sur tous les gens qui s'agitaient ici autour des décombres. Seuls le personnel de secours était identifiable à travers leurs uniforme.
Une simple erreur de Mickael, et sa proposition se transformerait en allez simple vers la case prison, sans toucher trois milles euros.
C'était un risque à prendre, et cela en valait bien sur la peine. Quand il s'agissait de vie humaine, Mickael ne reculait devant rien, si il pouvait être utile.
Courage, ou acte incensé, personne ne le savait, toujours est il qu'il fallait du monde, beaucoup de monde, et que chacun pourrait mettre main à la pâte.

-Eh vous tous va bien ? lui adressa soudain un policier.

Un frisson parcouru le dos de Mickael. Les images de la prison, se bousculaient dans sa tête. Fuire ou faire face? Il se contenta de répondre simplement à la question le plus calmement possible.

-Oui oui Monsieur l'agent.

Il se souvenu alors qu'il portait des vêtements déchirés, et que le flic avait simplement due le prendre pour un blessé, qui aurait peux être besoin d'aide.
Aprés avoir remercié ce dernier, le jeune homme repris ses recherches dans les décombres.

Alors que Meredith venait enfin de trouver un responsable capable de lui permettre de donner un coup de main, elle aperçut Cristina dans la foule de blessés, un kit d'urgence à la main, prenant le taureau par les cornes comme à son habitude. Elle tenta de l'appeler et de lui faire signe mais cette dernière ne la vit pas.
Meredith accelera le pas pour tenter de la rejoindre mais une jeune femme blessée s'écroula dans ses bras. Meredith l'allonga avec précaution sur une couverture qu'elle venait de déposer au sol et commença à soigner les diverses blessures de l'inconnue.
Tout autour d'elle, ce n'était que frénésie.

Tru était anéanti. Elle aurait pu éviter ses mrots, elle aurait pu éviter ce désatre. Ils llui avaient demander de l'aide!! Elle avait essayer, elle avait fait de son mieu. Mais ça n'avait pas suffit . Lorsqu'elle est revenu en arrière , il était 1h59, l'heure où elle sétait réveillé à sa première journée. Beaucoup trop tard pour faire évacuer qui que ce soit! Elle n'en revenait pas. ça faisait 6 mois qu'aucun mort ne lui avait demander de l'aide et le jour ou 6 lui demande elle n'en sauve aucun. De plus, Tru possédait encore les égratinures qu'elle s'était faîtes lors de "premier" séisme. Revivre ça une seconde fois c'était horrible. Alors, décider à sauver les rescapés, Tru chercha dans les décombres une personne à sauver.Les rescapés pleurait, les médecins s'affairaient. Tout le monde était occupés. Même le ncis. Le ncis? C'est la première fois que Tru voyait des agents du Ncis.Enfin, quelques mains de plus n'étaient pas supperflues!!!

Après avoir confié l'enfant a l'agent fédéral, il regarde celui-ci et lui dit

"quand je vous dirais d'y aller, vous tirerez pour retirer l'enfant d'accord ?

Il redescendit et regarda les pierres, il y en avait énormément... et pour écarter ça, même pour un vampire, la tache serait ardu.
Il remonta ses manches et commença a retirer quelques pierres.
Une fois le plus gros retiré, le plus dur ne fut pas d'extirper la jambe de l'enfant... mais plutôt de resister a l'odeur que le sang du jeune garçon dégageait

"allez y!

Cria-t-il en finissant d'enlever les roches bloquant le passage de la jambes de l'enfant.
Lorsque le petit fut remonté, il remarqua, avec tristesse, qu'en bas... il n'y avait plus de bruit...
Il remonta aussi vite que possible et regarda la femme médecin

"j'ai été infirmier...
Si vous avez besoin d'aide...
Je peux essayer de vous en apporter...

Dit Mick en regardant les gens autour de lui.

Cristina avait assisté à la scène, éberluée.
Bien sûr, le resultat était là, l'enfant était tiré d'affaire, mais au prix de quelles sequelles et de quels dommages à la jambe, aucun d'eux ne pouvait le savoir...

Elle jeta un regard glacial à l'un des hommes, un agent du NCIS à en croire son blouson, et commença à ausculter l'enfant.

-Oui il saigne et est en état de choc... Peut-être que si vous aviez trouvé une solution moins violente pour le tirer de ce trou, on en serait pas là !

Ce n'était pas le moment de faire dans le détail ni de régler des comptes, mais c'était plus fort qu'elle, ce gamin aurait pu y rester... Et eux aussi.
Reportant son attention sur l'enfant, elle réalisa combien il était mal en point. Il lui fallait plus que des soins d'appoint s'il ne voulait pas perdre sa jambe. Elle se retourna vers l'homme qui avait dit être infirmier :

-Je ne vais pas m'en sortir toute seule... Est-ce que vous pensez pouvoir le stabiliser pendant que je vais chercher plus de matériel ?

A vrai dire, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle allait trouver à sa disposition, mais il fallait tenter le coup si elle ne voulait pas avoir à l'amputer sur place.

-Et mince, on est en train de le perdre, cria-t-elle en sentant le poul se ralentir sous ses doigts, il faut trouver que vous me trouviez de quoi le transporter, lança-t-elle à l'agent du NCIS.
Il travaillait pour le gouvernement, il y avait des chances qu'il puisse se faire obéir plus facilement qu'elle.

Mick rappliqua aussitôt prêt de Christina
les blessures qu'il avait vus pendant la seconde guerre mondiale, et toute les autres n'avait jamais ressemblé a ça, si bien qu'il ne savait pas trop quoi faire.
et cette odeur qui lui titillait les narines, non plus qu'il soit facile de le tenter, plutôt que tant de sang au même endroit aurait pur attiré n'importe quel vampire.
Il ferma les yeux un instant et enleva la chaîne qu'il avait autour du cou

"il va falloire ligaturer l'artère pour arrêter l'hémorragie, et a moins d'avoir une idée plus brillante pour le sauvé a temps, je vous propose d'utiliser la mienne.

Il mit la chaines dans les mains de la jeune femme et regarda la plaie du petit

"vous n'auriez pas un scalpel ?
Ainsi, on aurait accès a l'artère et on pourrait faire ce qu'il y a faire au plus vite...

Biensur, il aurait pus trancher avec ses crocs, mais cela aurait sans doute fait un peu sauvage

Meredith avait les gants entièrement recouvert de sang. La jeune femme continuait à se vider de son sang et elle ne parvenait pas à trouver la source de l'hémorragie. Finalement, au bout d'une dixaine de minutes, elle finit par localiser le problème. De toute évidence, c'était neurologique. La jeune femme avait une grave commotion cérébrale et elle pouvait faire une rupture d'anévrisme à tout moment. Il fallait à tout prix qu'elle soit conduite à l'hopitâl.
Meredith fit quelques point de suture pour sa jambe et son bras légèrement blessés et tentant d'attirer l'attention d'un des ambulanciers.

- "S'il vous plaît! Hé! Quelqu'un m'entend? J'ai une jeune femme ici qui doit être évacuée de toute urgence. Est-ce que quelqu'un m'entend?"

Il régnait un tel brouhaha qu'il y avait peu de chance que ce soit le cas. Meredith pris deux secondes pour souffler et essayer de trouver une solution. La main toujours plaquée à l'arrière du crâne de la patiente pour endiguer l'hémorragie, Meredith ne perdait pas ses esprits mais commençait à perdre espoir.

Doug devait prendre son service ce matin même, parce qu’il avait rencontré la directrice Lisa Cuddy. Bon une rencontre non professionnelle, mais privée. Après tout, ils pouvaient se rencontre de cette façon et il ne comptait pas s’ennuyer avec elle. En tout cas, cette nuit, il avait été faire un tour en ville, pour rentrer sur les coups de deux heures du matin et en rentrant, il partit dans son salon. Il finit par s’endormir sur le canapé et fut réveillé par une secousse et il resta sur son canapé, ne bougeant pas. De toute façon s’était sans doute la meilleure chose à faire à ce moment là. Puis, il regarda par la fenêtre, les voisins sortaient à leur tour et Doug prit sa veste. Son fixe sonna et il entendit une infirmière qui lui demandait de venir pour aider, même s’il ne commençait que dans quelques heures. Il passa sa veste et partit pour l’hôpital.

Une fois là-bas, il eu juste le temps d’enlever sa veste et de la faire garder par une infirmière à leur comptoir, qu’il était déjà en train de travailler. Soigner les premiers qui arrivaient, au départ, ce furent de petits traumatismes, bleus, fractures, ce genre de choses. Mais les plus graves arrivèrent, mais Doug resta près des plus petits problèmes pour le moment, laissant les habitués de l’hôpital et les médecins prendrent les blessés graves. Il travaillait donc pour soigner les patients et il devait trouver maintenant des bandages. Il partit pour en chercher, quand il vit un homme assit avec une sucette en bouche. Ce dernier lui expliqua qu’il allait y bien et qu’il cherchait un autre médecin.

Peut-être que vous allez bien, mais vous aussi vous êtes certainement de service.

Doug avait entendu parler de ce médecin, il pensait que ce dernier allait se lever. Doug partit donc chercher les bandages et vit qu’il était toujours assit. Il alla faire le bandage du patient et une fois fait, revint vers l’homme.

Vous vous levez et vous faites votre travail Docteur.

Avec sa sucette dans la bouche, House regarda le médecin avec son air suffisant qui le rappelait à l'ordre.

- Ouh là, çà fait à peine 1 jour que vous êtes là et vous vous prenez pour le chef ? Vous couchez avec Cuddy ou quoi et elle déteint sur vous ?

A cette question, House remarqua le rictus sur le visage du médecin. Que cachait-il ? House savait que Doug Ross venait directement de l'hôpital de Chicago et était un excellent urgentiste avec une spécialité pédiatrie. Mais ce qui avait étonné House, c'était la rapidité dans laquelle, il avait été embauché dans cet hôpital par Cuddy donc il avait pris quelques renseignements sur lui auprès de son ancien employeur.

- Je connais votre spécialité....

Là, il vit de l'intéressement sur le visage de Doug.

- La drague des infirmières... Alors cherchez-en une, passez du bon temps avec elle et laissez-moi tranquille !

Au moment du séisme, Wilson se trouvait en consutation avec une vieille dame qui n'avait rien mais qui s'ennuyait tellement chez elle, elle venait en consultation pour passer du temps. Wilson l'avait vu 5 fois en 8 jours, il n'en pouvait plus mais à chaque fois il prenait quelques minutes pour l'écouter, il en profiter ainsi pour lire les comptes-rendus de son service. Affolée la vieille dame s'aggripait à Wilson, Wilson l'était tout autant mais il essayait de faire bonne figure. Il expliqua à sa patiente qu'elle ne risquait rien et qu'elle devait aider les gens en leur tenant compagnie. Il lui proposa donc de parler aux gens qui étaient seuls, il lui promis de revenir quand tout sera terminé.
Wilson regardait autour de lui, il ne savait pas du tout par où commencer, il aperçut House, il se dirigea vers lui. Il était rassuré de le voir vivant sans rien. Arrivé devant son meilleur ami, Wilson affichait un grand sourire et prit House dans les bras.

Tu n'as rien dieu merci.

Doug resta face à House et fut surprit de ses propos. Finalement, il était plus piquant qu’on ne le disait. Il appréciait cela, mais en même temps, il ne devait pas parler de Cuddy, ou alors pour le crisper lui. Il croisa les bras et écouta House parler jusqu’au bout, ne le coupant pas une seule fois. Mais, il se mit à sourire au sujet des infirmières et laissa échapper un rire en le fixant. Doug allant répondre à tout ce que House venait de dire, mais il vit un médecin arriver et le prendre dans ses bars. Doug ne pût s’empêcher de sourire.

Votre petit ami ?

Il se mit à sourire et fixa House.

Pour votre gouverne, le Docteur Cuddy a apprécié mon CV et mon travail, donc elle m’a embauché pour ça. Pour les infirmières ça ira, j’ai déjà une petite amie qui travaille ici, merci.

Il sourit poliment et regarda House. Il savait qu’il allait piquer sa curiosité, vu qu’il disait avoir une petite amie ici, il chercherait à savoir de qui il s’agit. Puis, il regarda l’autre homme qui était arrivé et regarda House à nouveau.

Je connais aussi votre spécialité, ne rien faire, mais pas aujourd’hui. Vous prenez votre plus beau sourire et vous faites votre travail. Non, enlevez le sourire, faites juste votre travail et si vous voulez en récompense, je ferais ce que vous voudrez.

Il savait que pour le moment, il ne pourrait faire que du donnant-donnant avec House, alors autant commencer comme ça, pour ensuite le prendre de cours. Il savait que House pourrait lui demander une énormité, mais tant pis, tant qu’il faisait son travail.

La réaction de l'homme au blouson fut plus violente que ne s'y attendait Cristina : visiblement, il n'aimait pas être remis à sa place.
La jeune femme n'avait ni le temps ni l'esprit à répondre à son incartade, aussi se contenta d'elle de soupirer de soulagement en le voyant s'éloigner à la recherche d'une aide ou d'un brancard.
L'autre homme avait déjà commencé tout mettre en oeuvre pour stabiliser le jeune garçon mais malgré toute sa bonne volonté, lui aussi était freiné par le manque de matériel.

-Pas de scalpel... Les trousses qu'ils distribuent dans les points de secours ne contiennent que quelques compresses et de quoi faire un ou deux bandages.

Lorsqu'il glissa sa chaîne entre les mains de Cristina, elle comprit qu'il était prêt à s'en servir pour ligaturer l'artère. C'était un travail minutieux et assez hasardeux avec un tel outil, mais il avait raison, ils n'avaient pas le choix. C'était une technique fréquemment utilisée pendant la deuxième guerre mondiale, et plusieurs fois acclamée par leur professeur d'histoire de la médecine à Stanford. L'homme semblait plutôt jeune, et Cristina se demanda avec curiosité où il avait appris une telle technique.

Mais le moment n'était pas aux questions et le sang continuait de couler. L'agent du NCIS venait de revenir avec un brancard, Cristina le remercia du regard puis s'adressa à l'infirmier :

-Ecoutez, vous n'allez pas vous en sortir sans scalpel... Si vous me donnez un instant, je retourne au point de secours et je vous trouve, au pire, quelque chose de très approchant ?!

Sans vraiment attendre de réponse, la jeune femme s'éloigna en courant, à travers les cris et la poussière. Elle composa à nouveau le numéro de l'hôpital en priant, pour une fois, de tomber sur House.

House vit le médecin qui allait répliquer quand il vit Wilson lui sauter dans les bras. Bien évidement, il était aussi ravi de le voir. A aucun moment, House a pensé qu'il aurait pu arriver quelque chose à Wilson et il fut quand même soulagé de le voir apparaître.

- Hey du calme ! tu vas me faire pleurer ! Je suis content aussi de te voir...

Biensûre le témoignage d'affection que lui témoignait son ami, avait donné l'occasion à l'urgentiste de sortir une énormité. House alla répondre mais quand il entendit celui-ci qu'il avait déjà une petite amie dans l'hôpital. House resta sceptique et ne rentra pas dans son jeu de devinette, de toute façon il allait se renseigner d'une manière ou d'une autre. Puis de nouveau, il lui demanda son aide en échange d'un service. House profita de cette occasion pour se moquer de lui.

- Si je vous aide, vous ferez une pipe à mon petit ami ? Je ne suis pas très doué pour ce genre de chose et je suis sûr que vous l'êtes !

Là c'est Wilson qui allait répliquer mais House ne lui en laissa pas l'occasion.

- Donnez-moi vos cas les plus bizarres et je ferais mon job !

House sortit son flacon de vicodine et prit 2 comprimés qu'il avala aussitôt. La journée allait être très longue.