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| Conférence d'oncologie (pv Spencer Reid) | |
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James Wilson
Nombre de messages : 536 Age de ton perso : 60 Localisation de ton perso : Las Vegas pour l'instant Emploi de ton perso : Chef du service d'oncologie « Amis/ennemis : House évidement, Cuddy et Blair/ Pas d'ennemi/ Ex Amber Date d'inscription : 24/03/2009
Feuille de personnage Type : Humain Histoire: Amour: Vera
| Sujet: Conférence d'oncologie (pv Spencer Reid) Sam 10 Oct - 23:50 | |
| Cinq jours qu'il était à la nouvelle Orléans et trois jours où il n'avait pas mis les pieds en dehors de l'hôtel. Ce colloque sur l'oncologie commençait à le gonfler. Il regrettait que House ne soit pas là, lui au moins l'aurait fait rire. Ce matin, en se levant, il se décida à ne pas se rendre à la soirée, voire encore des oncologues qui racontent la vie de leurs patients, il n'en pouvait plus. Juste avant de rentrer à la conférence, il demanda au concierge de l'hôtel de lui preparer un petit circuit pour cet apres midi et de lui trouver un restaurant typique de la ville. 17h, Wilson avait une envelloppe à la reception, il était très content le concierge lui avait concocter un bon petit circuit. En attendant un taxi, il telephona à Vera pour prendre de ses nouvelles et des bébés. Même si elle n'était qu'à son troisième mois de grossesse, Wilson ne voulait pas qu'elle prenne le moindre risque, il avait déjà connu la perte d'un enfant, là il ne voulait pas courir le moindre risque. Il expliqua à Vera qu'après son accouchement, ils partiraient tous les deux dans une ville pour revivre un second voyage de noce et donc ce fait qu'il allait visiter la Nouvelle Orléans. Pendant près de trois heures, il arpenta la ville, en se disant de plus en plus que Vera raffolerait cette ville. On lui conseilla de dîner au restaurant français "Louis XVI" et de goûter les escargots farcies. Il le fit et retrouva deux confrères qui s'étaient également occtroyer une petite soirée. Il termina la soirée avec eux, allant de bar en bar, Wilson décida au bout de son 7 ème verre d'arreter de boire et de se mettre au cocktail sans alcool. Aux alentours de minuit, un mal de tête le fit sortir du bar. Il se mit à l'écart du brouhat et se mit dans une petite ruelle, ne pas appeller Vera maintenant, elle se rendrait compte qu'il avait bu. Il prit son portable et se mit à composer le numéro de House quand il entendit un cri qui l'effraya et de peur il lacha son telephone. Il avanca prudement et vit deux personnes, une debout et l'autre allongée. Qu'est-ce qui se passe ici? La ruelle était mal éclairée et Wilson ne voyait presque rien. La personne debout leva la tête et partit en courant et bouscula Wilson, su le choc Wilson se cogna contre le mur et se déchira sa chemise et se fit trois égrafures. Wilson se précipita sur le corps immobile...c'était une jeune femme en train de mourir, sans s'en rendre compte Wilson poussa le couteau et mit ses empreintes dessus. Il ouvrit la chemise de la jeune femme la plaie était profonde, Wilson avait beau essayer de mettre sa main sur la blessure, la jeune victime saignait énormement. Wilson se mit à crier de plus belle au bout de quelques minutes, des passants vinrent enfin l'aider. Mais malheureusement, il était trop tard quand les secours arrivèrent. Wilson fut amener à l'hôpital, là-bas trois policiers l'interrogèrent. C'était leur cinquième meurtre en cinq jours dans ce quartier et le même type de victime avec le même genre de couteau. Wilson ensuite fut transferé au commissariat de police où l'attendait un agent spécial du FBI. En attendant l'arrivée cet agent, Wilson se rendit compte qu'il était dans la salle d'interrogatoire et qu'un agent allait plus que le questionner sur sa présence ici. Il avait demandé maintes fois à ce qu'on appelle sa femme mais personne l'écouta. Il était 4h du matin. Son mal de tête recommençait de plus belle et cette putain de lumière ne faisait rien pour arranger. Wilson se leva et se mit à gueuler, cela faisait deux heures qu'on l'avait enfermé ici et que le sois disant agent n'était pas là, qu'il avait mal de tête, qu'il avait le droit de passer un coup de téléphone et qu'il n'avait rien fait à cette jeune femme. Il colla sa tête contre le mur gris et froid de la salle d'interrogatoire et ferma les yeux. Il se repetait la scène, penser à Vera et aux bébés. Il se mit à mettre des petits coups contre le mur. Mais pourquoi était-il sortit et il essayait de souvenir de la personne qui l'avait bousculé. Cette attente lui faisait peur et le stressait de plus en plus. | |
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| Sujet: Re: Conférence d'oncologie (pv Spencer Reid) Dim 11 Oct - 1:08 | |
| Le meilleur médecin est la nature : elle guérit les trois quarts des maladies et ne dit jamais de mal de ses confrères [Louis Pasteur]
La Nouvelle Orléans, plus grande ville de Louisiane. Ce n’était pas la première fois que l’équipe de l’unité d’analyse comportementale du FBI devait se rendre là-bas, et ce ne serait certainement pas la dernière : dans cette ancienne ville française, une personne avait dix fois plus de risque de se faire assassiner qu’ailleurs. Étonnant, lorsque l’on sait que la criminalité serait plutôt en baisse. Difficile à croire vu les derniers jours...
En effet, cela faisait deux jours que l’équipe du BAU s’était rendu sur place, appelé pour une affaire de meurtres en série. Les victimes étaient toutes des femmes d’une trentaine d’années, brune et épanouie tant sur le plan professionnel que personnel. Toutes furent poignardée une unique fois, un coup fatal qui engendrait leur mort quelques secondes à peine, mais suffisamment longues pour que le tueur ait le temps de jouir de cette mort.
Ces meurtres, il y en avait déjà eu cinq. Ce qui était étonnant – et d’autant plus agaçant – c’était que le FBI n’avait été invité sur cette affaire qu’après trois meurtres. Pourtant, des éléments étaient tout de même significatifs : coup de poignard dans le poumon droit – en prenant soin de perforer la veine principale qui y passait, oreilles percées de boucles d'oreilles ornées de diamant bleus post-mortem, et les victimes étaient coiffées et maquillées. Elles étaient cependant laissées négligemment dans le coin d’une ruelle miteuse et malfamée.
Rapidement, le profil fut établi : il devait s’agir d’un homme, âgé d’entre trente-cinq et cinquante ans, marié à une femme brune d’environ trente ou quarante ans qui avait parfaitement réussi sa vie professionnelle – d’où son choix dans ses victimes. Il devait certainement soit avoir des enfants, soit son épouse serait enceinte. La vie professionnelle du sujet inconnu serait difficile à vivre. Non pas qu’il soit à un poste bas dans la hiérarchie – qui serait possible – mais que les taches seraient lourdes à porter, et en voudrait à sa femme de profiter pleinement de son emploi. Il serait cependant trop amoureux et attaché à elle pour vouloir la tuer, et se vengerait donc sur d’autres femmes. Organisé, le sujet inconnu apportait toujours le couteau qui allait servir d’arme, et le laissait sur le lieu du crime sans empreintes.
Cependant, ce soir la donne semblait avoir changé et une erreur commise…
***
Vers minuit trente, quelqu’un venait frapper à la porte de la chambre d’hôtel de Reid qui, dans un grognement non retenu, s’empressa d’aller ouvrir : il s’agissait de Hotch – parfaitement réveillé – qui prévenait d’un nouveau meurtre. Comment son collègue faisait-il pour être toujours aussi fort ? Cela faisait depuis qu’ils étaient arrivés dans la ville qu’ils n’avaient pas put dormir, et pour cette première nuit, Reid devait avoir la même tête qu’un mort vivant que l’on sortait de sa tombe. Il fallait cependant se réveiller vite. Il enfila alors ses vêtements, chaussures, montre et attrapa sac, dossiers, téléphone et arme placés à différents endroits de la chambre. En quelques minutes, il avait rejoint ses collègues au pied de l’hôtel, et ils étaient partis en deux groupes : l’un sur la scène de crime et l’autre au commissariat. En l’occurrence, ce deuxième groupe était formé de Hotch, J.J et Reid. Une vingtaine de minutes plus tard, et ils étaient arrivés.
Une fois sur place, on leur expliqua qu’ils avaient amenés un témoin qui pouvait se révélé être bien plus que ça, puisque ses empreintes avait été retrouvées sur l’arme du crime, et l’homme avait été vu près de la victime alors qu’elle mourrait. Après quelques recherches de Garcia, il semblait correspondre à de nombreux détails du profil, et son arrivée dans la ville correspondait au début des meurtres. Troublantes coïncidences, non ? Rappelons que les profilers ne croient pas aux coïncidences. On leur avait expliqué le comportement mouvementé et l’odeur d’alcool du témoin - devenu suspect dans l’esprit des inspecteurs, et il avait été décidé que Reid serait celui qui l’interrogerait. Lui ? Pourquoi ? Hotch était bien plus efficace dans ce domaine ! Cette décision n’était pas négociable. L’agent se fit donc une idée, et commença à se diriger vers la salle d’interrogatoire, le dossier à la main. Cependant, il fit un détour par la machine à café.
La porte de la salle s’ouvrit enfin, et y entra le jeune agent, deux café à la main. Il déposa une tasse devant Wilson, et s’assit sur la chaise qui faisait dos à la vitre sans teint.
- M. Wilson, je suis l’agent Reid du département d’analyse comportementale du FBI.
Après avoir but une gorgée de son café, Reid enleva son sac de son épaule, le posa sur la table et en sortit le dossier. Les premières minutes de l'interrogatoire allait être les plus importantes, puisqu'elles allaient déterminer comment il allait être mené. De sa première analyse, l'agent se dit avoir à faire à un homme perdu, qui ne comprenait pas ce qu'il pouvait se passer et qui avait surtout besoin d'être rassuré. Ce détail expliquait certainement la présence de Spencer dans cette salle. Du fond de sa poche, il sortit son téléphone portable qu'il déposa également devant Wilson.
- On m'a dit que vous aviez demandé plusieurs fois à appeler votre épouse. Je pense qu'il est peut être un peu tard, mais si vous souhaitez tout de même le faire...
La fin de sa phrase fut accompagnée d'un geste de la main afin de désigner le téléphone posé plus tôt.
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| | | James Wilson
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| Sujet: Re: Conférence d'oncologie (pv Spencer Reid) Dim 11 Oct - 1:38 | |
| Wilson n'en pouvait plus, il avait les yeux rouges de fatigue, de colère, de tristesse. Il se retourna quand la porte s'ouvrit, il vit un jeune homme portant deux cafés, l'oncologue s'assit et prit la tasse de café. Mais il mit ses mains seulement autour du gobelet, il ne remercia pas l'agent, depuis le temps qu'il disait qu'il avait soif. Wilson se demandait pourquoi un agent du FBI du département d'analyses du comportement s'aprêtait à l'interrogeait. Il trouvait son interlocuteur très jeune, et il n'avait pas du tout la gueule de l'emploi. Wilson lui sourit par contre quand il lui tendit un téléphone portable pour appeller sa femme. Wilson fit non de la tête. Ma femme est enceinte de trois mois, elle elle va paniquer si je l'appelle maintenant, je je veux pas la brusquer. Tout se melangeait dans la tête de Wilson, la fatique, le fait de ne pas avoir pu sauver cette jeune femme, être enfermé ici, ne pas boire, son mal de tête, il était confus dans tout. En principe elle prend son service à 6h au même hôpital que moi, Amber Volakis mais je pense que vous le savez déjà....Ecoutez, je n'ai rien à voir avec ce meurtre horrible, comme je l'ai dit à vos collègues, j'ai entendu un bruit, je suis allé voir et j'ai vu que des ombres et puis tout est vague ensuite, je je suis oncologue, je sais faire face à la mort mais pas dans ces circonstances, je elle je qu'est-ce que vous voulez savoir de plus? Wilson poussa le café et mit ses mains à plats sur la table et se mit à fixer son gobelet. Je...elle s'appellait comment? Quand je le lui disais de se calmer je lui disais demoiselle. Je peux? Wilson prit le téléphone de Reid. Je voudrais appeller mon meilleur ami lui au moins il pourra prevenir ma femme....Laissez moi sortir de là. La colère envahit Wilson, il balança le gobelet et le téléphone dans la salle. En se levant d'un bond, sa chaise se renversa, il tapa des poings sur la table. Non mais vous croyez que j'ai la gueule d'un meurtrier, on vous apprend quoi dans vos écoles à emmerder des gens qui vont porter secours, mais putain si je l'avais tuer vous pensez que je serai resté aurpès d'elle et attendu les secours, réflichissez un peu. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Conférence d'oncologie (pv Spencer Reid) Dim 11 Oct - 2:03 | |
| Reid fut réellement surpris de la tournure de l’interrogatoire. Tout d’abord, l’homme lui expliqua qu’il ne voulait pas effrayer sa femme, enceinte, et à cela l’agent acquiesça d’un hochement de la tête. Il allait lui poser des questions sur ce qui avait put se passer dans la ruelle, mais il n’eut le temps de rien. En fait, rapidement Reid perdit le contrôle de l’interrogatoire. Voilà pourquoi il n’aimait pas être ici, parce qu’il ne savait pas s’imposer. Mais au moins, ce semblant d’interrogatoire – qui était plus un test pour vraiment connaitre la personnalité de Wilson – avait confirmé l’idée que Hotch et Reid s’étaient fait : il était trop paniqué et se mettait trop rapidement en colère. Ça ne correspondait pas au profil. Ça et les empreintes retrouvées, le fait qu’il appelle les secours.
Alors qu’il allait répondre à sa demande d’appeler son ami, Reid fut une nouvelle fois coupé par le vol d’un café et de son téléphone. Tout aussi rapidement que lui, l’agent se leva mais il recula d’un pas. En réalité, il savait ce qui allait arriver : Hotch et l’inspecteur en charge de l’enquête allait entrer en trombe dans la pièce avec un ou deux autres policiers pour faire calmer Wilson. Mais Reid les empêcha d’approcher. Les mains légèrement relevées, les paumes bien en évidence pour signifier clairement qu’il ne lui voulait aucun mal, il tenta de le calmer.
- M. Wilson, s’il vous rasseyez-vous. On sait que vous ne l’avez pas tué. Que vous ayez été gardé ici sans être interrogé pendant des heures n’était pas voulu, mais nous avons des procédures…
Voilà qu’il commençait à parler comme Hotch… Ca faisait peur…
- Il faut que vous nous parliez de tout ce que vous avez put voir ou entendre dans cette ruelle afin d’arrêter le tueur. Alors s’il vous plait, assoyez-vous et calmez vous. Les agents qui viennent d’entrer vont repartir, ils n’ont pas besoin d’être là. Il faut cependant que je vous pose des questions.
Reid jeta un coup d’œil à ses collègues et leur fit signe de quitter la pièce, ce qu’ils firent dans la foulée malgré les protestations non cachées de l’inspecteur en charge du dossier. Évidemment, quelque part Spencer avait peur de ce qu’il pouvait arriver dans les prochaines secondes – il n’était pas réellement un spécialiste du corps à corps – mais en parlant il avait déjà réussi plusieurs fois à dénouer des situations. Alors pourquoi pas celle-ci ?
- L’homme qui a tué cette femme, Juliane Keller, est déjà l’auteur de quatre autres meurtres identiques. Sauf que vous l’avez empêché d’aller au bout de son rituel ce qui l’obligerait certainement à tuer une autre femme durant la nuit. Alors il faut que vous nous aidiez à l’arrêter en nous donnant tous les détails possibles…
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| | | James Wilson
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| Sujet: Re: Conférence d'oncologie (pv Spencer Reid) Dim 11 Oct - 15:30 | |
| Wilson s'arreta net dans sa colère quand trois agents rentrèrent dans la salle, il se remit à sa place, bon l'agent qu'il l'interrogeait avait l'air compréhensif surtout par rapport au flic qu'il avait arreté. Il souffla aux mots "on sait que vous ne l'avez pas tué" enfin se disait-il, mais alors si il était innocent pourquoi le mettre dans une salle d'interrogatoire. Il attendit que tout le monde soit sorti pour raconter ce qu'il se souvenait. Wilson devint tout blanc quand Reid lui annonca que le tueur allait peut être tuer une autre femme pour terminer son rituel. Il passa sa main sur son visage, il ferma les yeux pour l'aider à se souvenir du moindre détail. Je...je suis sorti à OOh03, je le sais car j'ai pris mon portable pour appeller mon épouse, je me suis résigné à l'appeller vu l'heure. Wilson émit un petit sourire. J'avais un peu trop bu et elle n'aurait pas trop accepté, je pense...j'allais donc appeller mon meilleur ami pour l'emmerder un peu...J'ai entendu un cri horrible, j'ai lâché mon portable et me suis approchée de l'endroit d'où provenait le cri. Wilson se mit à transpirer, se souvenir de ça qu'il avait un assassin en face de lui. J'ai demandé ce qu'il se passait ou un truc de ce genre, je ne m'en souviens plus. Je voyais une ombre et là j'ai vu une personne par terre mais de là où j'étais je voyais pas qu'elle saignait. J'ai fais quoi deux pas même pas non un pas et là j'ai vu l'ombre courir et me bousculer, je l'ai regardé partir, quel con j'aurai du courrir après lui mais l'ombre par terrre bougeait, j'ai pas pensé à une tentive de meurtre, je pensais à pfff je sais pas à quoi....je me suis approchée de la jeune fille et j'ai vu la blessure, je ...me souviens pas trop de ce que j'ai fait, j'ai essayé d'arreter l'hemorragie mais je lui ai menti je lui ai dit que j'allais l'aider....Et puis j'ai appellé de l'aide je ne pouvais pas la laisser. Mon Dieu...Je je ne vois que ça. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Conférence d'oncologie (pv Spencer Reid) Dim 11 Oct - 16:54 | |
| Une fois Wilson rassit, Spencer se dirigea vers son téléphone qui avait fini sa course à une extrémité de la pièce. Le choc avait fait sortir la batterie de l’appareil, mais il ne semblait pas avoir subit de dégât. C’est tout du moins ce qu’avait supposé l’agent quand il l’avait rallumé. Ceci fait, il retourna s’assoir sur sa chaise, s’adossa contre le dossier de la chaise et observa l’homme se calmer. Il n’avait vraiment pas le comportement d’un tueur, passant trop rapidement de la colère à la panique. Puis son attitude changea une nouvelle fois, il s’agissait plutôt de peur. Il comprenait qu’une autre femme courrait un risque. Ce qu’il ne savait pas, c’était que l’inconnu s’en prenne à quelqu’un qui ne correspondrait pas à ses critères précédents. Mais il essayait de se concentrait, et commençait à raconter ce qu’il avait put voir.
Au fur et à mesure que l’homme parlait, Reid prenait des notes. Le moindre élément pouvait être important, et le médecin semblait en avoir conscience. Pourtant, les détails restaient vagues. Il fallait essayer autre chose, une chose que les membres du BAU maitrisaient depuis longtemps : faire revivre la scène au témoin pour arriver à des éléments que le cerveau n’analyse pas dans ces situations. D’une voix calme, l’agent lui expliqua :
- Rassurez-vous, vous avez fait ce qu’il fallait. Courir après cet homme aurait été une erreur qui aurait put vous être fatale. Écoutez. Je voudrais que l’on fasse un exercice. Cela consisterait à vous rappeler de la scène, mais en vous guidant pour vous focaliser sur vos autres sens que la vue : ce que vous auriez put sentir, appréhender. Sur le coup, ce sont des éléments que notre cerveau n’étudie pas, mais il les range quelque part. Faire cet exercice nous permettrait d’accéder à ces éléments. Vous voulez bien ?
Le téléphone vibra, il venait de recevoir un message de Garcia qui signalait que les vidéos de surveillance du bar étaient arrivées. Quelque part, l’équipe espérait que le suspect se trouvait dans ce lieu, car cela pourrait signifier que le médecin pourrait peut être l’identifier. D’accord, c’était maigre comme supposition, mais il fallait bien quelque chose.
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